A grands doutes sagesse profonde, à petits doutes sagesse limitée…

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez…
qu’il y a un proverbe chinois qui dit : A grands doutes sagesse profonde.
A petits doutes sagesse limitée.

Ne cessez jamais de douter, ne cessez jamais de questionner,
ne considérez jamais que vous avez toutes les réponses. Avoir
toutes les réponses tue la question en soi, lui enlève la vie,
et vous l’enlève également.

Continuez à regarder, continuez à chercher.
On ne trouve jamais « tout ». Car si vous considérez
avoir tout trouvé, vous niez le fait qu’il puisse
y avoir plus. Et il y a toujours plus.

Avec tout mon amour, votre ami…
Neale

-Jean-Philippe
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On this day of your life, I believe God wants you to know…
that there is a Chinese proverb: Great doubts deep wisdom.
Small doubts little wisdom.

Never stop doubting, never stop questioning, never,
ever assume you have all the answers. Having all the
answers kills the question itself; renders it lifeless —
and you, too…

Keep looking, keep seeking. Never, ever find it all.
Because when you find it all, you deny that there is
more. And there is never not more.

Love, Your Friend …
Neale

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4 réflexions au sujet de “A grands doutes sagesse profonde, à petits doutes sagesse limitée…”

  1. “Douter” ? Ça dépend évidemment de quoi. Savoir que nous ne savons pas tout me semble d’une humilité élémentaire. Voici une parole d’un sage de l’Inde qui m’a toujours inspirée:
    “À chaque instant, soyez comme une feuille blanche sur laquelle vient s’inscrire ce qui doit être su, dans la paix, le repos, le silence d’une réceptivité parfaite. N’ayez aucun souci de paraître ni même d’être, mais soyez seulement l’instrument qui lui n’est rien et ne sait rien, mais est prêt à tout recevoir et à tout transmettre.” Voilà et par dessus tout, ne doutez jamais de vous et des merveilleuses potentialités qui n’attendent que votre enthousiasme pour se révéler.

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    • “Le silence d’une réceptivité parfaite”, c’est vrai que c’est inspirant. Merci pour ce partage Jacques.
      En revanche, je ne crois pas qu’il faille être l’instrument qui n’est rien et ne sais rien. C’est à mon sens rien de moins qu’une invitation au néant.
      Je crois que sur ce point notre principal soucis devrait être de savoir faire preuve de discernement. Et ça le moins que l’on puisse dire c’est qu’on ne nous l’enseigne pas à l’école. Ce qui est bien dommage !
      Vous savez c’est la fameuse phrase de Montaigne que l’éducation ne doit pas simplement consister à “remplir un vase” et à faire des “têtes bien pleines”, mais aussi et surtout, à “allumer un feu” et à faire des “têtes bien faites”.
      Quand on pense que cela fut dit il y a près de cinq et qu’on dresse un bref état des lieux de la situation présente, je crois qu’on serait bien en mal de mesurer les progrès en matières d’éducation que nous avons fait depuis.
      Où sont les “maîtres en discernement” ?

      Et si au lieu que les scientifiques cherchaient à répondre à des questions d’ordre existentielles, ils se tournaient plutôt vers ce qui concerne directement nos choix de vie, c’est-à dire les activités que nous faisons au quotidien.
      Comment faire pour bien respirer, pour bien se nourrir, pour bien se loger, pour bien se vêtir, pour bien cuisiner, pour bien se doucher, pour bien dormir, etc…
      Où est la science de la bonne santé ?
      Elle semble être entrain d’émerger me direz-vous, oui c’est vrai n’oublions pas de célébrer les bonnes nouvelle, lorsque celles-ci nous sont communiquée.

      En guise de conclusion je dirais ceci, et si nous nous en remettions à l’évidence, le réel dépasse largement le cadre de notre compréhension et également de celle que l’on pourrait avoir.
      D’ailleurs cela signifie-t’il peut-être que nous avons mieux à faire que de chercher à tout savoir sur tout et que la vie nous invite à nous rapprocher de l’essentiel (qu’on soit clair, ceci n’est nullement une pub pour la marque Orange, ou en tout cas, cela n’était pas fait dans cette intention).

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  2. Bonjour à tous,
    C’est mon premier post et mon premier… doute au sujet d’une pensée de Neale.
    Est-ce douter que de ne pas considérer avoir toutes les réponses ?
    Pour moi, c’est plutôt faire preuve d’humilité.
    Si Neale n’avait jamais cessé de douter, comment aurait-il pu écrire “Conversation avec Dieu”?
    Voilà, je vous soumets humblement ma réflexion.
    Au plaisir de vous lire.

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  3. Bonjour à tous
    Cette pensée enlève un grand sentiment de culpabilité, celui de douter. Jusqu’où s’arrêtera l’évolution? Ou bien ce n’est peut être qu’un éternel recommencement … Mais jusqu’à quand ? Chuut…! Restons dans l’instant présent.

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