Aucun homme ne peut être blessé autrement que par lui-même ..

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez…
qu’aucun homme ne peut être blessé autrement que par lui-même.

Diogène a dit cela, et il avait raison. L’expérience de chaque personne est créée à l’intérieur, par lui ou elle-même. Personne à l’extérieur ne peut vous dire ce que signifie toute chose, ou si vous êtes “blessé” ou non.

Si vous vous sentez blessé par quelque chose ou par quelqu’un, c’est le résultat de votre décision de vous sentir comme cela. Cela peut être dur à entendre, mais c’est vrai. Vous pouvez changer d’avis à tout moment sur comment quelque chose vous affecte.

Avec tout mon amour, votre ami…
Neale

Quelqu’un m’a dit une fois :
“Ok, donc à ce moment-là, on peut dire ce qu’on veut ?
puisque c’est de sa faute si l’autre se sent blessé !”.
Vous pouvez exprimer votre vérité, à partir du moment
où cela est exprimé depuis cet endroit d’amour en vous,
depuis votre cœur, pas parce que vous voulez avoir
raison, pas parce que VOUS êtes blessé,
mais parce que la Vie cherche à faire passer
un message à travers vous, ce que l’autre
a besoin d’entendre.
Vous verrez que même si ce message est difficile
à entendre, s’il est exprimé depuis votre cœur,
il sera accueilli avec le cœur.
-Jean-Philippe
Affichez les images dans votre messagerie - Conversations avec Dieu

On this day of your life, I believe God wants you to know…
that no man is hurt but by himself.

Diogenes said that, and he was right. Every person’s experience is created internally, by him or herself. No one outside of you can tell you what anything means, or whether you are “hurt” or not.

If you feel hurt by something or someone, it is the result of your decision to feel that way. This may be tough to hear, but it is true. You can change your mind at any moment about how something is affecting you.

Love, Your Friend …
Neale

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1 réflexion au sujet de « Aucun homme ne peut être blessé autrement que par lui-même .. »

  1. Si vrai. Je peux accepter une critique ainsi bienveillante comme le bistouri d’un chirurgien. Une ouverture de mon carapace là où il faut quand il faut, en faveur de la vie sous un aspect auquel autrement je n’aurais accès que bien plus tard.

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