En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez…
que la maîtrise ne se mesure pas par le nombre de choses terribles
que vous éliminez de votre vie, mais par le nombre de fois que vous
arrêtez d’appeler “terrible” ces choses.
Bouddha a attiré à lui la souffrance, pour la regarder en face,
pour voir s’il était cela, et, sinon, pour voir du coup qui il était.
Jésus s’est laissé crucifier, pour démontrer qui il était.
Et que pensez-vous que vous faites ici ?
Pourquoi se préoccuper de ce monde relatif si ce n’est pour se
connaître à travers votre expérience ? Et comment faire cela
autrement qu’à travers la rencontre avec ce que vous n’êtes pas ?
Avec tout mon amour, votre ami…
Neale
On this day of your life, I believe God wants you to know…
that mastery is not measured by the number of terrible
things you eliminate from your life, but by the number of
times you eliminate calling them terrible.The Buddha brought suffering onto himself, to look into
the face of it, to see if he was that, and, if not, to see
who he then was. Jesus allowed himself to be crucified,
to demonstrate who he was. And what do you think
you are doing here?Why bother with this relative world if not to know yourself
in your own experience? And how else to do that except
through the encountering of that which you are not?Love, Your Friend …
Neale
Je pense qu’en expérimentant la souffrance on devient aussi plus sensible à celle de l’autre, mais la réaction de chacun peut varier, il peut y avoir vengeance ou empathie selon l’esprit de chacun.
La souffrance peut-être aussi perçue comme une forme de purification, une fonte des toxines spirituelles, mentales et physiques.
Une légende raconte que Bouddha est devenu bleu car il s’est porté volontaire pour sauver l’humanité en buvant toute la mer qui avait été empoisonnée.
« …. la rencontre avec ce que vous n êtes pas »
La répétition d’événements difficiles, incompréhensibles, jusqu à ce que l on comprenne, amène parfois à cela.
Merci et très belle journée Jean Philippe