Le courage c’est parfois faire des choses qui peuvent vous blesser

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que le courage c’est parfois faire des choses qui peuvent vous blesser.
Cela signifie choisir le bien le plus élevé.

Et ne vous y trompez pas. Vous savez toujours ce qui est
le bien le plus élevé. Il n’y a jamais de doute à ce propos
dans votre coeur. Alors aujourd’hui, regardez les choses
avec votre coeur, pas avec votre mental (qui veut toujours
vous protéger).

Quel est le bien le plus élevé maintenant ?

Vous connaissez déjà la réponse. Alors faites-le.

Avec tout mon amour, votre ami ..
Neale

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Si je devais faire l’expérience de cela
ce serait par exemple faire preuve de
patience avec un bébé qui n’arrive pas
à dormir, pour la 4ème nuit d’affilée …
Ce serait trouver la force d’être réconfort,
affection, soutien malgré l’épuisement.
Et vous ? comment feriez-vous
l’expérience de cette pensée ?
Très bon weekend !
-Jean-Philippe

On this day of your life, I believe God wants you to know…
that courage sometimes means doing things that could
hurt you. It means choosing the higher good.

And do not kid yourself. You always know what the
higher good is. There is never any doubt about that in
your heart. So today, look at things through your heart,
not through your mind (which always wants
to protect you).

What is the highest good right now?

You already know the answer.
Just do it.

Love, Your Friend …
Neale

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4 réflexions au sujet de “Le courage c’est parfois faire des choses qui peuvent vous blesser”

  1. ” pas avec votre mental (qui veut toujours
    vous protéger).”

    ça dépend ce qu’on appelle par “vous”.
    perso je pense comme ceci :

    “pas avec votre mental (qui veut toujours
    s’auto protéger).”

    Pour moi la nuance est de taille, car nous ne sommes pas notre cerveau !!

    ( je peux développer, mais ce serait trop long ici, j’écris un livre sur le sujet…LOL )

    je répond à ceci

    “Si je devais faire l’expérience de cela ce serait par exemple faire preuve de patience avec un bébé qui n’arrive pas à dormir, pour la 4ème nuit d’affilée …
    Ce serait trouver la force d’être réconfort, affection, soutien malgré l’épuisement.
    Et vous ? comment feriez-vous
    l’expérience de cette pensée ?”

    Je te donne mon avis par expérience de la chose….

    Il est très difficile de supporter les cris d’un bébé au premier enfant, car c’est une expérience que l’on n’a pas encore vécu. Au deuxième ça va déjà beaucoup mieux, car on commence à comprendre bien mieux comment et pourquoi un enfant crie la nuit….
    Un enfant crie toujours pour une raison…
    la première est que il a vite compris que “cri” = présence de maman pendant la nuit…ça le rassure.
    Pas mal de pédiatres conseillent de le laisser crier les premières nuits sans intervenir, afin de ne pas créer chez lui un réflexe, un automatisme !
    Le hic est que ça parait cruel à pas mal de mamans ( et de papa aussi ), ce qui peut engendrer un conflit dans le couple…et là, on n’est pas sortit de l’auberge si la maman ne partage pas cet opinion…mais attention toute fois,une webcam est conseillée, pour s’assurer que sa position est correcte, car une mauvaise position peut provoquer ses pleurs..et oui, un bébé ça gesticule et est très vite capable de se retourner !
    ceci dit, un bébé peut rêver, faire un cauchemard, avoir mal au ventre, un bruit peut le réveiller, tout un tas de raisons…lange humide ou pire, je dirais que chaque bébé est différent et que de toute façon le fait qu’il pleure est tout à fait normal, et le fait que les parents vont passer des nuits blanche est absolument dans la normale des choses…
    je dirai juste que une bonne compréhension de son bébé améliore le dialogue avec lui et son conjoint, en général les deux premiers mois sont assez stressant pour les parents, je puis affirmer que dans la normale des choses , ça finit par s’améliorer assez rapidement, et on dit un “OUF” de soulagement quand le bébé fait ses premières nuits tranquille ! 🙂
    En, un mot, courage ça va passer… 😉

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  2. Mais Jean Phi. Tu sais ce qui te blesse c’est de ne pas pouvoir y arriver….donc le plan le plus élever c’est de te dire je suis fatigué, épuiser…je n’en peu plus….Il n’y a pas de scrupules à avoir, je suis passée par là comme beaucoup. Tu n’es pas un surhomme 🙂 y’a encore du chemin à parcourir. mais en disant ta faiblesse, tu reçois un encouragement, tu n’es pas seul 🙂 😉 Bisou de Belgique

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    • Merci Manu, oui effectivement, je dois peut-être simplement accepter les choses telles qu’elles sont et accepter de ne pas y arriver !

      Je vois que je ne suis pas le seul à arpenter une pièce dans le noir avec un bébé dans les bras .. 😉

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