Aimer, c’est ne jamais avoir à dire “je suis désolé”

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez…
qu’aimer, c’est ne jamais avoir à dire “je suis désolé”.

Erich Segal a dit cela et il avait raison. Dieu vous aime, et c’est pourquoi vous n’avez jamais à dire “désolé” à Dieu. Si vous aimez quelqu’un, libérez-le du besoin de s’excuser auprès de vous pour quoi que ce soit.

Avoir besoin d’excuses est le signe d’une personne qui se trompe à propos d’elle-même. Vous ne pouvez être blessé par quelqu’un d’autre. Tout se joue dans vos pensées. Revenez à l’amour et abandonnez votre besoin de pardonner aux autres quoi que ce soit.

Avec tout mon amour, votre ami…
Neale

-Jean-Philippe

On this day of your life, I believe God wants you to know…
that love means never having to say you’re sorry.

Erich Segal said that and he was right. God loves you, and that is why you never have to say you’re “sorry” to God. If you love someone, relieve them of the need to apologize to you for anything.

The need for an apology is the signal of a person who is mistaken about him-or-herself. You cannot be damaged by another, you only imagine that you can. It is all in your head. It is all in your thought about it. Go back to love and give up your need to forgive others for anything.

Love, Your Friend …
Neale

Laisser un commentaire

2 réflexions au sujet de “Aimer, c’est ne jamais avoir à dire “je suis désolé””

  1. Cette réflexion me questionne. Si je dis à l’autre que je suis désolée, pour moi, c’est une marque de respect envers l’autre. Je ne veux pas blesser, ou contrarier l’autre, mais si je me rends compte que j’ai fait une erreur, je dois m’excuser par respect. Je reste un être humain qui, même remplie de bonnes intentions, peut faire des erreurs. Je veux rester en paix et en harmonie avec l’autre parce que j’aime cette personne. Mais si c’est l’autre qui m’a parlé d’une manière très blessante, il me semble que je dois m’affirmer par respect pour la personne que je suis. Je n’ai pas à me laisser écraser par l’autre, je suis un enfant de Dieu et j’ai droit au respect moi aussi. L’important, il me semble, c’est de garder un ton calme mais affirmatif. (Je ne prétends pas avoir la vérité absolue.) Merci à vous !

    Répondre