En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez…
que vous pouvez être heureux maintenant, pas demain,
pas dans dix minutes, mais maintenant.
Vous pouvez être heureux dès maintenant.
Byron Katie a dit cela, et elle avait raison. Le bonheur
c’est se permettre d’accepter simplement ce qui est,
plutôt que de souhaiter, et regretter, ce qui n’est pas.
Manifestement, ce qui est, est ce qui est supposé être,
sinon cela ne serait pas. Le reste c’est juste vous,
qui vous débattez avec la vie. Quelque part le long du chemin,
vous aurez à apprendre à avoir Confiance dans la Vie.
(Il faut lire : « avoir Confiance en Dieu »).
Pourquoi ne pas commencer aujourd’hui ?
Avec tout mon amour, votre ami…
Neale
Quand Neale dit “il faut avoir confiance dans la vie”,
en fait il ajoute que ça signifie
qu’il faut avoir confiance en Dieu,
tout simplement.
-Jean-Philippe
On this day of your life, I believe God wants you to know…
that you can be happy right here, not tomorrow, not
in ten minutes, but now. You can be happy right now.Byron Katie said that, and she is right. Happiness is
allowing yourself to be okay with what is, rather than
wishing for, and bemoaning, what is not.Obviously, what is is what is supposed to be, or it
would not be. The rest is just you, arguing with life.
Somewhere along the way you will have to learn to
just Trust Life. (Read that, “Trust God.”)Why not start today?
Love, Your Friend …
Neale
“Le Bonheur, c’est accepter ce qui est, plutôt que de souhaitez ou regretter ce qui n’est pas”.
Je ne vous dit pas l’effet qu’une telle phrase pourrais produire, si celle-ci était pleinement comprise et intégrer par chaque personne qui la liras.
Alors comment faire pour l’intégrer, telle est la question ?
Je crois qu’il faudrait tout bonnement cesser cette activité que nous avons exercer avec plus ou moins de succès jusqu’à présent .
De quoi peut-il donc bien s’agir au juste ? Voyons je vous en prie ne croyez-vous pas que le comédie dure depuis assez longtemps maintenant ?
Voyons je parle de cette habitudes qui consiste à rechercher sempiternellement des raisons qui viendrait nous dédouaner de la responsabilité du fait de nous sentir malheureux.
Et si nous nous foutions un peu la paix. Je veux dire, à la longue ce petit jeu ne devient-il pas usant ?
Et si nous décidions de ne plus investir notre énergie dans ce genre d’entreprise ?
Quoi êtes-vous pleinement satisfait de ce que cela vous a rapporté jusqu’à présent ? Et si, une bonne fois pour toute, nous osions le Grand Rire. Un rire souverain, qui reconnaissant l’authenticité de sa propre signature, viendrait à se moquer des raisons invoquées par une imagination en panne de créativité.
N’ayons pas peur de laisser venir à nous ces raisons, et d’un air assuré, exprimons-nous alors en ces termes : sérieux, tu crois vraiment à l’histoire que tu es entrain de me raconter ?
Y a pas à dire, toi t’es vraiment un sacré maître dans l’art du travestissement.
Je suis sincère. Mais, si tu veux bien, j’aurais une faveur à te demander.
A l’avenir, n’essaye plus de me remonter le moral, tu t’y prends vraiment comme un pied !
Assurément ! Le choix du meilleur peut très certainement commencer par le rejet du moins bon…Merci.
Je lisais cette parole dernièrement qui m’a parlé: “Les gens sont malheureux parce qu’ils ne savent pas qu’ils sont heureux.” Tiens une petite histoire apprise un jour en Inde::” Un disciple en détresse alla voir son Maître et lui dit:”Maître, je suis malheureux, je veux le bonheur.” Le Maître le regarda avec compassion et lui dit simplement:”Mon fils, débarrasse-toi du “je” et débarrasse-toi du “veux”,…y a que le BONHEUR.”